Creative Control
6/10
Avec Benjamin Dickinson, Nora Zehetner, Dan Gill
Date de sortie 9 novembre 2016, vu le 5 octobre 2016 en VOSTF
Synopsis : New York, futur proche, David, jeune cadre branché, prépare le lancement de lunettes révolutionnaires qui confondent réel et virtuel : la réalité augmentée. Mais lors de la phase test, tout commence à se brouiller entre sa vie publique, privée et imaginaire...
Avis : Peut-on vivre dans un monde où tout est connecté et transparent sans y perdre la tête ? Voilà à quoi mène l'expérience noire et blanche de Creative Control.
L'ambiance est pure, nette et sans âme par le biais et choix du réalisateur Benjamin Dickinson avec une prise de vue très judicieuse et photographique du noir et blanc. Les seules nuances de couleurs sont quand la créativité, - et donc la vie -, prend le contrôle.
Le casting est méconnu pour ma part mais plutôt intéressant dans l'ensemble. Benjamin Dickinson (David) n'est qu'addiction, entre drogue, alcool et vice sexuel, il sombre doucement dans les méandres noirs de la créativité et de la technologie qu'ils peuvent apporter. Nora Zehetner (Juliette) est la part de douceur et de bienveillance qu'ignore totalement David. Il a tout pour être heureux mais préfère la facilité, comme quoi la technologie n'est pas faite pour tous. Alexia Rasmussen (Sophie) n’est que désir insaisissable. Elle est troublante car on la penserait parfaite telle une création tout droit sortie d'un rêve, mais dans la vie personne ne l'est. Dan Gill (Wim) est provocation constante dans la luxure et l’exagération de toujours en vouloir plus sans penser aux conséquences.
Côté musique, que des grands classiques : Bach, Mozart et Beethoven en parfaite adéquation avec le style futuriste car ses œuvres musicales sont intemporelles.
Ce long métrage m'a fait beaucoup penser à certains courts-métrages. Complètement plongé dans l'expérimental et la technologie moderne, le film nous fait subir par conséquent quelques longueurs malgré lui.
L'ambiance est pure, nette et sans âme par le biais et choix du réalisateur Benjamin Dickinson avec une prise de vue très judicieuse et photographique du noir et blanc. Les seules nuances de couleurs sont quand la créativité, - et donc la vie -, prend le contrôle.
Le casting est méconnu pour ma part mais plutôt intéressant dans l'ensemble. Benjamin Dickinson (David) n'est qu'addiction, entre drogue, alcool et vice sexuel, il sombre doucement dans les méandres noirs de la créativité et de la technologie qu'ils peuvent apporter. Nora Zehetner (Juliette) est la part de douceur et de bienveillance qu'ignore totalement David. Il a tout pour être heureux mais préfère la facilité, comme quoi la technologie n'est pas faite pour tous. Alexia Rasmussen (Sophie) n’est que désir insaisissable. Elle est troublante car on la penserait parfaite telle une création tout droit sortie d'un rêve, mais dans la vie personne ne l'est. Dan Gill (Wim) est provocation constante dans la luxure et l’exagération de toujours en vouloir plus sans penser aux conséquences.
Côté musique, que des grands classiques : Bach, Mozart et Beethoven en parfaite adéquation avec le style futuriste car ses œuvres musicales sont intemporelles.
Ce long métrage m'a fait beaucoup penser à certains courts-métrages. Complètement plongé dans l'expérimental et la technologie moderne, le film nous fait subir par conséquent quelques longueurs malgré lui.
Bande annonce
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